Il vous reste quelques jours pour voir…
Matisse, Cézanne, Picasso, l’aventure des Stein
Galeries nationales du Grand Palais – Fermeture le 22 janvier
Retrouvez la gigantesque collection de la famille Stein. Divisée en huit sections, l’exposition révèle les goûts et choix artistiques des différents membres de la famille d’origine américaine et installée à Paris. Matisse, Renoir, Degas, Cézanne, Picasso, les Stein ont collectionné mais aussi aidé à faire émerger de nombreux peintres. Une exposition sous forme d’un mini-musée de l’art moderne au tournant du XIXe et XXe siècle. A partir du 1er février, la collection se visitera au Metropolitan Museum of Art de New York.
Edvard Munch, l’œil moderne
Centre Pompidou – Fermeture le 23 janvier
Edvard Munch, ce n’est pas seulement « Le Cri », cette célèbre toile terrifiante. Beaubourg le prouve en exposant 140 œuvres de l’artiste norvégien, peintures mais aussi photographies, films et quelques rares sculptures. Partagé entre la France et l’Allemagne, le peintre est pour beaucoup à l’origine du mouvement expressionniste.
Métropolis, épopée futuriste
Cinémathèque de Paris – Fermeture le 29 janvier
Le film mythique de Fritz Lang sorti en 1927 est décortiqué via cette exposition. Scénario et grandes séquences du film s’illustrent par des dessins originaux, des projections, des costumes et objets, des photos de plateau… A l’heure où un film muet et en noir et blanc connaît les honneurs d’Hollywood, foncez redécouvrir ce chef-d’œuvre.
Diane Arbus
Jeu de Paume – Fermeture le 5 février
Première rétrospective française de la photographe américaine, l’exposition Diane Arbus retrace la carrière d’une artiste doublement sensible à la fois dans sa technique et dans ses sujets. Les gens sont la matière première de la photographe. Postures, visages, expressions, l’artiste capte la diversité et parfois l’excentricité des habitants du New York des années 50-60. En noir et blanc et en contraste.
Le Louvre invite JMG Le Clézio – Le Musée monde
Le Louvre – Fermeture le 6 février
Après Robert Badinter, Umberto Eco ou Patrice Chéreau, le Louvre ouvre ses salles aux préférences iconographiques de Le Clézio. Des œuvres d’artistes et des objets de Haïti, du Mexique ou du Vanuatu côtoient des peintures historiques et des gravures révolutionnaires. Partant du principe qu’il n’y a pas de « hiérachie en art », Le Clézio mêle géographie et histoire dans une vision artistique qui n’est jamais minorée.
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