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 Parce que tous les chemins mènent à Venise qu’on les emprunte en train, en avion ou en bateau. De Paris-Gare de Lyon, un train de nuit vous amène au cœur de la ville. Allongé sur votre couchette – il n’est pas sûr que vous dormiez les poings fermés – vous pourrez voir défiler les Alpes, le lac Majeur, la campagne milanaise, Vérone… avant d’arriver sur la lagune au petit matin (si les moteurs tiennent bon). A partir de 130 euros par personne, vous pouvez même réserver une cabine entière. C’est Thello qui assure le voyage.
 Parce que, le temps d’un week end, vous ne serez pas un serial shopper. A moins de ramener un lustre magistral en verre de Murano, Venise ne vous fera pas faire des folies d’achats. En dehors des rues très touristiques, il n’y a pas beaucoup de boutiques, à se demander même comment font les Vénitiens pour s’habiller, se meubler et même remplir leur frigo… Une détox de sollicitations d’achat salvatrice. Bon, une petite paire de Furlane, l’espadrille vénitienne, vos pieds l’ont bien méritée et c’est tout. Vous les trouverez chez Pied-à-Terre tout prêt du Rialto (San Polo 60).
 Parce que vous allez faire du sport sans vous en rendre compte. D’abord de la marche : au moins 10 kilomètres par jour à arpenter les différents sestiere (quartiers) de Venise. Du Dorsoduro au Castello, du Canarregio à San Marco, dans le labyrinthe des ruelles aux grandes places, c’est une marche rythmée qui vous attend. Mais aussi des steps : il faut bien les traverser ces multiples canaux ! A la fin de la journée, rien de tel qu’un lieu cosy et calme pour allonger ce corps entraîné et continuer à admirer la Sérénissime. Ce Airbnb dans le Dorsoduro (à partir de 190 euros la nuit) est testé et approuvé.
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